QUI N'A PAS SON BLOG ?
98 % des internautes et 99,8 % de la population mondiale !
98 % des internautes et 99,8 % de la population mondiale !
Les blogs sont en train de redessiner l'avenir du Web. Et par bien des aspects, les blogs sont le Web d'aujourd'hui - et de demain.
Les blogs sont un sous-ensemble du Web, qui lui même est une partie d'Internet.
Notez : blogs < Web < Internet
En interaction avec les autres éléments, il participeront à la forme que le Web adoptera dans les années à venir. Il ne faut pas oublier que si les blogs ont bénéficié de la formidable explosion des moyens techniques qui ont été mis en oeuvre pour apporter des connexions haut débit à la portée d'un grand nombre de consommateurs, voire la connexion tout court, ce ne sont pas les utilisateurs qui ont été les promoteurs de ce changement ; c'est que l'infrastructure cachée d'Internet change rapidement permettant à des nouveaux participants de jouer un rôle dans la mise en place du contenu du Web.
Vu le faible nombre d'Internautes qui ont actuellement un blog et même si la croissance actuelle se poursuit de la même façon pendant quelques années, le contenu du Web sera essentiellement défini non pas par les individus qui y publient, mais par les entreprises, publiques et privées.
Bien entendu, si on ne se défini que par les blogs, via les blogs et pour les blogs, on fini par souffrir du syndrome de "l'arbre qui cache la forêt". Mais il suffit de déplacer légèrement le regard pour se rendre compte que la forêt est toujours là.
Le web reste encore le domaine des scientifiques qui ont été à son origine et une masse impressionnante de données y est déposée, disponible plus ou moins librement. Les initiatives pour l'Open Access à la connaissance scientifique se multiplient et les publication scientifiques basées sur le Web gagnent du terrain. par semaine je parcours environ 1000 pages et je lis 400 autres attentivement, rien qu'en littérature scientifique, pour les besoins de mon travail. Largement plus que ce que je lis par mois sur les blogs.
Extension directe, celle du domaine de la technologie. Il est devenu d'une facilité déconcertante de trouver les manuels techniques des appareils qu'on utilise, les fiches produits d'un nombre impressionnant d'entreprises, des données sur la façon de traiter les produits chimiques en milieu industriel.
Toujours en restant dans le domaine du documentaliste, les métiers qui sont traditionnellement intéressés par les textes ont été révolutionnés : les textes de lois, le journal et le bulletin officiel, sont disponibles par quelques clics. Les textes d'oeuvres littéraires du domaine public sont faciles à trouver et à télécharger dans une variété de formats. Les contenus de bibliothèques universitaires entières sont en passe de devenir aussi accessibles que n'importe quel fichier sur votre ordinateur.
Le Web est devenu le support de nombreuses formes d'Art. Littérature, musique et certaines des Arts plastiques sont avantageusement véhiculées par le Web, perdant un peu de leur qualité certes, mais gagnant l'accès facilité à leur public. Qu'il s'agisse de la présentation des collections des musées, de l'assemblage de l'oeuvre d'un artiste ou d'un mouvement artistique, ou d'oeuvres contemporaines, parfois conçues même pour le Web, on ne sais plus où donner de la tête.
S'ajoutent bien entendu le nouveaux objets artistiques et ludiques qui ne seraient pas envisageables sans les révolutions qu'ont vécu l'électronique et l'informatique : vidéos, Flash etc.
Voici un aperçu de la forêt qu'on ne doit pas oublier à cause des blogs.
Puis, même pour la communication n'oublions pas que les forums existent toujours, que les e-mails s'échangent, que le téléphone fonctionne toujours, d'autant plus qu'il y a des outils qui passent par Internet maintenant, comme Skype, AIM, iChat etc.
qui a dit que : les blogs sont le Web d'aujourd'hui - et de demain ?
Les blogs sont un sous-ensemble du Web, qui lui même est une partie d'Internet.
Notez : blogs < Web < Internet
En interaction avec les autres éléments, il participeront à la forme que le Web adoptera dans les années à venir. Il ne faut pas oublier que si les blogs ont bénéficié de la formidable explosion des moyens techniques qui ont été mis en oeuvre pour apporter des connexions haut débit à la portée d'un grand nombre de consommateurs, voire la connexion tout court, ce ne sont pas les utilisateurs qui ont été les promoteurs de ce changement ; c'est que l'infrastructure cachée d'Internet change rapidement permettant à des nouveaux participants de jouer un rôle dans la mise en place du contenu du Web.
Vu le faible nombre d'Internautes qui ont actuellement un blog et même si la croissance actuelle se poursuit de la même façon pendant quelques années, le contenu du Web sera essentiellement défini non pas par les individus qui y publient, mais par les entreprises, publiques et privées.
Bien entendu, si on ne se défini que par les blogs, via les blogs et pour les blogs, on fini par souffrir du syndrome de "l'arbre qui cache la forêt". Mais il suffit de déplacer légèrement le regard pour se rendre compte que la forêt est toujours là.
Le web reste encore le domaine des scientifiques qui ont été à son origine et une masse impressionnante de données y est déposée, disponible plus ou moins librement. Les initiatives pour l'Open Access à la connaissance scientifique se multiplient et les publication scientifiques basées sur le Web gagnent du terrain. par semaine je parcours environ 1000 pages et je lis 400 autres attentivement, rien qu'en littérature scientifique, pour les besoins de mon travail. Largement plus que ce que je lis par mois sur les blogs.
Extension directe, celle du domaine de la technologie. Il est devenu d'une facilité déconcertante de trouver les manuels techniques des appareils qu'on utilise, les fiches produits d'un nombre impressionnant d'entreprises, des données sur la façon de traiter les produits chimiques en milieu industriel.
Toujours en restant dans le domaine du documentaliste, les métiers qui sont traditionnellement intéressés par les textes ont été révolutionnés : les textes de lois, le journal et le bulletin officiel, sont disponibles par quelques clics. Les textes d'oeuvres littéraires du domaine public sont faciles à trouver et à télécharger dans une variété de formats. Les contenus de bibliothèques universitaires entières sont en passe de devenir aussi accessibles que n'importe quel fichier sur votre ordinateur.
Le Web est devenu le support de nombreuses formes d'Art. Littérature, musique et certaines des Arts plastiques sont avantageusement véhiculées par le Web, perdant un peu de leur qualité certes, mais gagnant l'accès facilité à leur public. Qu'il s'agisse de la présentation des collections des musées, de l'assemblage de l'oeuvre d'un artiste ou d'un mouvement artistique, ou d'oeuvres contemporaines, parfois conçues même pour le Web, on ne sais plus où donner de la tête.
S'ajoutent bien entendu le nouveaux objets artistiques et ludiques qui ne seraient pas envisageables sans les révolutions qu'ont vécu l'électronique et l'informatique : vidéos, Flash etc.
Voici un aperçu de la forêt qu'on ne doit pas oublier à cause des blogs.
Puis, même pour la communication n'oublions pas que les forums existent toujours, que les e-mails s'échangent, que le téléphone fonctionne toujours, d'autant plus qu'il y a des outils qui passent par Internet maintenant, comme Skype, AIM, iChat etc.
qui a dit que : les blogs sont le Web d'aujourd'hui - et de demain ?
Et contrairement aux médias traditionnels, la personnalité du blogueur, son style et ses opinions jouent un rôle essentiel dans l'intérêt de son blog Ca ne veut pas dire que les blogs n'ont pas un brillant avenir ! Mais qu'il y a autre chose aussi dans la vie, l'Internet et le Web.
C'est un point de vue que j'espère vous ne partagez pas. En tout cas il est loin de ma pratique quotidienne de la presse.
D'abord on choisi son journal d'après ses affinités. Montrez moi un lecteur du Canard Enchaîné, par exemple, et je saurais de suite que j'ai des affinités avec lui. Ca ne veut pas dire que nous seront d'accord sur tout, ou même l'essentiel, mais nous partageons une culture et nous trouverons moyen de discuter.
Puis on a ses "têtes" préférées. Certains journalistes dont les analyses nous sont parues intéressantes et en phase avec notre pensée, des critiques qui semblent aimer les mêmes films que nous, des chroniqueurs dont on attend avec impatience la prose.
Même pour les pages ludiques nous pouvons avoir nos préférences, les mots croisés de Libération plutôt que ceux du Monde, et l'inverse pour les problèmes d'échecs, le Carnet de la Comtesse.
Je ne vois pas où est la différence avec les blogs.
C'est un point de vue que j'espère vous ne partagez pas. En tout cas il est loin de ma pratique quotidienne de la presse.
D'abord on choisi son journal d'après ses affinités. Montrez moi un lecteur du Canard Enchaîné, par exemple, et je saurais de suite que j'ai des affinités avec lui. Ca ne veut pas dire que nous seront d'accord sur tout, ou même l'essentiel, mais nous partageons une culture et nous trouverons moyen de discuter.
Puis on a ses "têtes" préférées. Certains journalistes dont les analyses nous sont parues intéressantes et en phase avec notre pensée, des critiques qui semblent aimer les mêmes films que nous, des chroniqueurs dont on attend avec impatience la prose.
Même pour les pages ludiques nous pouvons avoir nos préférences, les mots croisés de Libération plutôt que ceux du Monde, et l'inverse pour les problèmes d'échecs, le Carnet de la Comtesse.
Je ne vois pas où est la différence avec les blogs.
... les blogs constituent ce qu'on appelle la "blogosphère". Il ne s'agit pas d'une notion théorique, mais bien d'un espace délimitée sur le Web par l'intégralité des blogs.
Malheureusement, la blogosphère n'est pas vraiment délimitée et ce travail reste à faire. Il est en effet aujourd'hui impossible d'en connaître les limites, les blogs ne portent pas des signes distinctifs qu'une machine puisse "comprendre" pour en faire le recensement et la multiplication des blogfarms ne fait rien pour arranger les choses.
Le problème est d'autant plus aigu que la complexité des blogs va de la simple liste de liens, éventuellement avec un petit commentaire, à des constructions relativement complexes qui ont peu à envier à des sites professionnels.
On peut espérer qu'une balise spécifique pourrait être mise en place pour les identifier et qu'elle deviendrait une recommandation du 3W largement suivie.
Elle pourrait probablement permettre de disposer d'un espace -blogs indépendant chez Google , ou au minimum de pouvoir filtrer les blogs lors d'une recherche, comme c'est le cas pour le contenu non autorisé aux enfants ;-)
Certes, une telle solution réduirait l'attrait que présentent aujourd'hui les blogs pour la publicité, qu'elle soit imposée ou choisie par le blogger lui-même, mais elle pourrait également favoriser le développement de la blogosphère.
En attendant, bien malin celui qui dirait où commence et où fini la blogosphère en termes autres qu'algébriques ou en restant dans le vague.
Malheureusement, la blogosphère n'est pas vraiment délimitée et ce travail reste à faire. Il est en effet aujourd'hui impossible d'en connaître les limites, les blogs ne portent pas des signes distinctifs qu'une machine puisse "comprendre" pour en faire le recensement et la multiplication des blogfarms ne fait rien pour arranger les choses.
Le problème est d'autant plus aigu que la complexité des blogs va de la simple liste de liens, éventuellement avec un petit commentaire, à des constructions relativement complexes qui ont peu à envier à des sites professionnels.
On peut espérer qu'une balise spécifique pourrait être mise en place pour les identifier et qu'elle deviendrait une recommandation du 3W largement suivie.
Elle pourrait probablement permettre de disposer d'un espace -blogs indépendant chez Google , ou au minimum de pouvoir filtrer les blogs lors d'une recherche, comme c'est le cas pour le contenu non autorisé aux enfants ;-)
Certes, une telle solution réduirait l'attrait que présentent aujourd'hui les blogs pour la publicité, qu'elle soit imposée ou choisie par le blogger lui-même, mais elle pourrait également favoriser le développement de la blogosphère.
En attendant, bien malin celui qui dirait où commence et où fini la blogosphère en termes autres qu'algébriques ou en restant dans le vague.
... le blogueur accède via son navigateur habituel ...
Pas toujours, il y a des logiciels de gestion de blogs qui sont dotés de leur propre interface; par exemple iBlog
Pas toujours, il y a des logiciels de gestion de blogs qui sont dotés de leur propre interface; par exemple iBlog
Pour ce qui est de la France, NITLE indique 81000 blogs, soit la deuxième langue la plus représentée dans la blogosphère.
Je suis persuadé qu'ils se sont trompé quelque part. D'une part que 81000 blogs français me paraît une sous-estimation, d'autre part que font-ils des coréens ? En Corée les blogs sont beaucoup plus nombreux qu'en France. Faudra vérifier.
Je suis persuadé qu'ils se sont trompé quelque part. D'une part que 81000 blogs français me paraît une sous-estimation, d'autre part que font-ils des coréens ? En Corée les blogs sont beaucoup plus nombreux qu'en France. Faudra vérifier.
... on peut considérer que "l'an 1 du blogging" est l'année 1999.
Décembre 1997 : le blogs de Jorn Barge, Robot Wisdom, rend populaire le terme Weblog.
Faudra se décider; probablement un réliquat de l'écriture à quatre mains.
Personnellement je considère que le premier blog est la page "What's New" de Tim Berners-Lee, publiée dès 1992. Et je n'utiliserais pas le terme de pseudo-blog, mais proto-blog, pour éviter toute confusion avec les "faux" blogs.
Il est vrai que l'utilisation d'un outil de FTP aussi complexe que Fetch [;-)] pouvait rebuter les rédacteurs du milieux des années 90 (on ne parlait pas encore de webloggers et encore moins de bloggers). Mais ils y arrivaient ! Etonnant non ?
Dire qu'il m'a fallu attendre 2002 pour apprendre que j'en étais un !
Décembre 1997 : le blogs de Jorn Barge, Robot Wisdom, rend populaire le terme Weblog.
Faudra se décider; probablement un réliquat de l'écriture à quatre mains.
Personnellement je considère que le premier blog est la page "What's New" de Tim Berners-Lee, publiée dès 1992. Et je n'utiliserais pas le terme de pseudo-blog, mais proto-blog, pour éviter toute confusion avec les "faux" blogs.
Il est vrai que l'utilisation d'un outil de FTP aussi complexe que Fetch [;-)] pouvait rebuter les rédacteurs du milieux des années 90 (on ne parlait pas encore de webloggers et encore moins de bloggers). Mais ils y arrivaient ! Etonnant non ?
Dire qu'il m'a fallu attendre 2002 pour apprendre que j'en étais un !
De ce point de vue, le blogging est donc à la fois la cause et une conséquence de la simplification de la technologie : ...
Alors là non !
D'une part la technologie est loin d'avoir été simplifiée; au contraire elle a évoluée en gagnant en complexité pour proposer des nouvelles fonctions, et je ne citerais que les TrackBacks, le morceau de choix certes. ce qui s'est trouvé simplifié est l'interface à travers on tient à jour son blog. les professionnels du code qui ont sué pour nous proposer des petits bijoux d'efficacité apprécieront et confirmeront mon point de vue je pense.
Et l'apparition et le développement de la technologie n'aurait pas de sens si le besoin de tenir un blog ne préexistait pas. Comme c'est mentionné par ailleurs dans "Blog Story", les outils de blogging ont été développées pour combler des besoins personnels souvent, ceux des amis peut-être, moins versés au HTML, pour se simplifier la vie. Que d'autres les utilisent par la suite, c'est "tant mieux".
La facilité croissante que les logiciels de blogging offrent, n'aurait probablement pas suffi à donner au sujet son amplitude actuelle, si conjointement les connexions Internet ne s'étaient pas améliorées.
Alors là non !
D'une part la technologie est loin d'avoir été simplifiée; au contraire elle a évoluée en gagnant en complexité pour proposer des nouvelles fonctions, et je ne citerais que les TrackBacks, le morceau de choix certes. ce qui s'est trouvé simplifié est l'interface à travers on tient à jour son blog. les professionnels du code qui ont sué pour nous proposer des petits bijoux d'efficacité apprécieront et confirmeront mon point de vue je pense.
Et l'apparition et le développement de la technologie n'aurait pas de sens si le besoin de tenir un blog ne préexistait pas. Comme c'est mentionné par ailleurs dans "Blog Story", les outils de blogging ont été développées pour combler des besoins personnels souvent, ceux des amis peut-être, moins versés au HTML, pour se simplifier la vie. Que d'autres les utilisent par la suite, c'est "tant mieux".
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2 commentaires:
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